Bon, c'est vrai, je l'avoue il y a déjà quelques recettes de bananabread sur mon blog !
Mais c'est un dessert/goûter dont on ne se lasse pas, je trouve, et je suis toujours partante pour tester d'autres versions...qui plus est quand on a un bon stock de bananes bien mûres à écouler (Matthieu bosse dans un fournil cette année et le livreur revient souvent des magasins bio des environs avec pas mal de bananes qui ne sont plus vendables, mais encore délicieusement appréciées chez nous !).
On reste sur mes modalités du moment, sans gluten et sans oeuf pour un résultat très chouette !
C'est Elise, une charmante jeune femme rencontrée lors d'une journée de workshop photo et stylisme culinaire à Paris...en 2017 (que le temps passe !) qui m'a soufflé l'idée d'utiliser le psyllium dans ce gâteau.
Le psyllium, aussi appelé plantain des Indes ou ispaghul est en général connu pour ses vertus apaisantes au niveau intestinal et sa capacité à faire baisser le mauvais cholestérol.
En cuisine, il est souvent utilisé dans les préparations sans gluten et/ou sans oeuf car il apporte de l'élasticité, du gonflant et du moelleux aux pâtes à pain, gâteau...
Pour un cake
* 1 cuillère à soupe de psyllium
* 4 cuillères à soupe de lait végétal
* 80 g d'huile de coco
* 50 g de sucre complet (plus riche en nutriments que le sucre blanc) ou de sucre de coco (qui a un indice glycémique plus bas que le sucre classique)
* 4 bananes moyennes bien mûres (+ 1 pour la déco)
* 100 g de farine de riz complet
* 100 g de farine de sorgho (ou de sarrasin)
* 1 pincée de sel
* 1 cuillère à soupe de poudre à lever sans gluten
* 60 g de chocolat noir grossièrement concassé (ou de pépites de chocolat)
* 20 g de chocolat noir + 1 cuillère à café d'huile de coco (pour la déco, facultatif)
Préchauffer le four à 180°.
Dans un petit bol, mélanger le psyllium et le lait.
Dans un saladier, mélanger l'huile de coco et le sucre. Ajouter les bananes en morceaux et les écraser grossièrement à la fourchette.
Ajouter le mélange psyllium-lait, les farines, le sel, la poudre à lever et mélanger.
Ajouter le chocolat et mélanger.
Verser dans un moule à cake légèrement huilé ou chemisé de papier cuisson.
Couper la dernière banane dans la longueur et la disposer sur le cake en appuyant légèrement. Saupoudrer d'un peu de sucre.
Enfourner pour 1 h environ.
Laisser refroidir un peu avant de démouler sur une grille.
Une fois refroidi, on peut ajouter une ultime couche de gourmandise au gâteau en faisant fondre au bain-marie le reste de chocolat avec un peu d'huile de coco afin d'en verser quelques cuillères sur le dessus.
hummm mois j'aime le bananabread surtout au petit dej!!!! bisous
RépondreSupprimertu es une vraie gourmande !!
SupprimerLe banana bread, je crois que j'en ai testé moi aussi des dizaines de variantes... Le psyllium doit en effet apporter un moelleux certain, c'est un vrai atout dans les recettes sans gluten ! Comment va ton petiot de ce côté-là d'ailleurs ?
RépondreSupprimerBises
Coucou Amélie, moi aussi, c'est comme les cookies, j'ai toujours envie de bidouiller quelque chose de différent ! C'est gentil de prendre des nouvelles d'Augustin : il continue son régime d'éviction pendant encore quelques mois, sa peau va vraiment bien et le bidon semble plus calme que les années passées aussi...mais je suppose que cette sensibilité le caractérise globalement et qu'il faut tracer son petit chemin avec...tu as pu réintroduire pas mal d'aliments toi ?
SupprimerCoucou, il ya des recettes qu'on refait sans que ce soit tjrs la mm chose. Et le banana bread est tellement déclinable que chacun peut y trouver son goût. Je vais en faire mais je n'ai qu'une banane qui tire la tronche, je vais mettre de la compote en complément. J'ai découvert le psyllium et j'en prends ts les jours. Ça aide vraiment niveau intestinal. Et j'aime bien ça épaissir un yaourt et ça devient limite mousseux.
RépondreSupprimerBon mercredi à tous 😘😘😘
On utilise aussi pas mal le psyllium pour cuisiner sans gluten...tu me diras ce que ça a donné avec la compote ? En même temps, j'imagine que ce sera mangé de toute façon, chez moi, les gâteaux ne durent jamais longtemps...
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