Depuis quelques temps, je réfléchissais pas mal à l'achat d'un déshydrateur, car comme vous le savez sans doute, je cuisine beaucoup cru, de manière assez instinctive, pour profiter au maximum de tous les nutriments apportés par les légumes et les fruits.
Sans avoir pour but de devenir 100% crudivore, j'avoue qu'il y avait certaines préparations en cuisine crue qui me faisaient de l'œil, pour tester, pour innover et surtout pour tirer le meilleur parti de cette alimentation que je souhaite saine et gourmande dans notre quotidien…
Les salades, ça va, je crois que je maîtrise, la pâtisserie crue, je m'y mets...mais j'avais envie d'essayer des choses un peu plus cuisinées, se rapprochant de ce qu'on peut faire en cuisant, des textures plus croustillantes, des crackers plus sains encore, des biscuits…
Bref, j'y songeais et j'hésitais, car l'investissement est quand même non négligeable si on souhaite un appareil un peu qualitatif.
Ce sont les quetsches cueillies il y a quelques jours en Alsace qui m'ont fait franchir le cap!
C'était le prétexte idéal pour s'y mettre et se garantir une jolie réserve de fruits secs dont on est de grands consommateurs!
La réactivité du site Natura Sense (super service clients et livraison ultra rapide) est aussi entrée en ligne de compte dans le choix du modèle.
J'avais été en contact avec eux pour chroniquer le livre de Christophe Berg (sur la cuisine crue, tiens, tiens!!) et j'avais beaucoup apprécié les échanges avec Elise, j'ai donc choisi de leur faire confiance parmi les nombreux choix potentiels de déshydrateurs.
Résultat, une commande le 23 août (on va dire que je me suis un beau cadeau d'anniversaire!) dans l'aprem, une livraison le lendemain matin et une toute première déshydratation dans la foulée!!
On s'y est mis à 8 mains pour remplir les 5 plateaux de quetsches dénoyautées et coupées en deux : un démarrage à 60° pendant deux heures (le cœur du fruit ne monte pas en température durant ce court laps de temps, et cela permet d'inactiver les micro-organismes responsables de la dégradation des ingrédients et de réduire l'oxydation) puis une baisse de la température à 46° pour...pas mal d'heures, une petite vingtaine à la louche en tout (le temps dépend de la découpe des fruits, du déshydrateur, il faut donc vérifier de temps en temps, c'est le moyen le plus sûr) avec rotation des plateaux, on l'a fait deux fois.
Nous voilà donc avec quelques boîtes bien remplies de jolis pruneaux maison!
Pour la conservation, a priori, le mieux serait forcément la mise sous vide d'air, mais sans machine (ça va, on va se calmer là quand même en terme de pépettes!), on a opté pour ces boîtes qui se ferment bien. On peut aussi utiliser des bocaux avec joints.
De toute façon, je ne me leurre pas, ils vont pas tenir bien longtemps ces pruneaux, avec les estomacs sur pattes qui accompagnent ma route quotidienne!
eh bah ! T'as eu la rolls-royce des déshydrateurs ! Ils sont tops eux !
RépondreSupprimerje sais! J'hésitais mais mon conseiller boulanger m'a dit de jouer la carte de la qualité!! Je suis en pleine déshydratation de bases de pizza crue, tomates et olives!
SupprimerJ'allais dire la même chose, le top du top ! Le mien est rond donc par forcément pratique. J'avais pensé à déshydrater une partie de ma dernière livraison, mais le manque de temps est passé par là, elles sont au congélateur.
RépondreSupprimerJ'adore les crackers et les cuirs de fruits au déshydrateur, les saveurs sont vraiment différentes et rehaussées. J'avais utilisé pas mal de recette anciennes du blog Golubka, une vrai mine d'or !
J'ai aussi congelé quelques quetsches, j'ai fait une glace avec ce soir, pas mal du tout! Et mes crackers type base de pizza viennent juste de finir de déshydrater, ils ont l'air réussi, verdict demain midi! Je vais aller voir le blog Golubka, je le connais mais ça fait longtemps que je n'y suis pas allée…
RépondreSupprimerquant aux cuirs de fruits, très envie d'essayer aussi! Bonne soirée!